Dit plutôt qu'ils ont réponses à toutes tes questions et attaques. Preuves Bibliques, faits scientifiques, faits historiques etc... lorsque tu es vexé et que tu ne peut tenir tête tu dit qu'ils critiquent et ont des questions récurrentes.
Tous ceux qui viennent ici savent que tu ne fait qu'être aux troussent des TJ toutes tes questions tournent autour de la critique sur les TJ.
sauf que lorsque les réponses sont données ont trouvent moyen pour supprimer les réponses venant de la Bible.
par exemple celle d'hier: 1 jean 1:1 ( la bonne traduction est celle de ceux qui respectent la grammaire grec)
Voilà la réponse d'hier dont vous avez trouvez bon de supprimer.
“La Parole était Dieu”
LA BIBLE de Jérusalem rend Jean 1:1 de cette manière: “Au commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu.” Selon les trinitaires, ce passage signifie que “le Verbe” ou “la Parole” (grec ho logos) qui est venu sur la terre en la personne de Jésus Christ était le Dieu Tout-Puissant lui-même.
Une fois de plus, on remarque que c’est le contexte qui permet d’avoir une compréhension exacte des Écritures. La Bible de Jérusalem, elle-même, dit que “le Verbe était avec Dieu”. (C’est nous qui soulignons.) Celui qui est “avec” quelqu’un ne peut pas être ce quelqu’un. En accord avec ce raisonnement, la Revue de littérature biblique (angl.), éditée par le jésuite Joseph Fitzmyer, fait observer que si on interprétait la dernière partie de Jean 1:1 comme signifiant “le” Dieu, cela “contredirait la proposition précédente”, qui dit que le Verbe était avec Dieu.
Voici comment d’autres traductions rendent cette partie du verset:
1808: “et la parole était dieu.” The New Testament in an Improved Version.
1864: “et dieu était la parole.” The Emphatic Diaglott, traduction interlinéaire de Benjamin Wilson.
1928: “et le Verbe était un être divin.” La Bible du Centenaire, L’Évangile selon Jean, Maurice Goguel.
1935: “et la Parole était divine.” The Bible — An American Translation, J. Smith et E. Goodspeed.
1946: “et d’espèce divine était la Parole.” Das Neue Testament, Ludwig Thimme.
1963: “et la Parole était dieu.” Les Saintes Écritures — Traduction du monde nouveau.
1975: “et dieu (ou d’espèce divine) était la Parole.” Das Evangelium nach Johannes, Siegfried Schulz.
1978: “et d’espèce divine était le Logos.” Das Evangelium nach Johannes, Johannes Schneider.
En Jean 1:1, on trouve deux fois le nom commun grec théos (dieu). Dans le premier cas, il désigne le Dieu Tout-Puissant, avec qui était la Parole (“et la Parole [logos] était avec Dieu [forme de théos]”). Ce premier théos est précédé de ton (le), forme de l’article défini grec qui se rapporte à un être distinct, en l’occurrence le Dieu Tout-Puissant (“et la Parole était avec [le] Dieu”).
D’un autre côté, il n’y a pas d’article devant le deuxième théos. Ainsi, on pourrait traduire littéralement: “et dieu était la Parole.” Cependant, nous avons vu que nombre de versions rendent ce second théos (qui est ici un nom commun attribut) par “un être divin”, “divin” ou “dieu”. Qu’est-ce qui les autorise à le faire?
Le grec koïnê possédait un article défini (“le”, “la”, “les”), mais pas d’article indéfini (“un[e]”, “des”). Quand donc un nom commun attribut n’est pas précédé de l’article défini, il peut, selon le contexte, être indéfini.
D’après la Revue de littérature biblique, ces expressions, “où un attribut sans article précède le verbe, expriment essentiellement l’attribution d’une qualité”. Comme le constate cette publication, cela indique que le logos peut être comparé à un dieu. On lit encore dans cet ouvrage à propos de Jean 1:1: “La force qualitative de l’attribut est tellement importante que le nom commun [théos] ne peut être considéré comme défini.”
Par conséquent, ce que Jean 1:1 met en lumière, c’est la qualité de la Parole: le fait qu’elle est “divine”, qu’elle est “dieu”, mais non le Dieu Tout-Puissant. Cette conclusion est conforme au reste de la Bible, qui montre que Jésus, appelé ici “la Parole” en raison de son rôle de Porte-parole de Dieu, est un être subordonné et obéissant, qu’il a été envoyé sur la terre par quelqu’un de supérieur à lui, le Dieu Tout-Puissant.
Il existe nombre de versets bibliques où le nom, sans article dans le texte grec, est manifestement attribut; ce que les traducteurs montrent bien, parfois, lorsque le français le demande, en faisant précéder ce nom de l’article indéfini “un” (ou “une”). Ce procédé de traduction permet d’évoquer la caractéristique ou la qualité du sujet. Par exemple, en Marc 6:49, quand les disciples de Jésus le virent marcher sur l’eau, ils “crurent que c’était un fantôme”. (Jé.) Pareillement, Jean 1:1 montre que la Parole n’est pas “Dieu”, mais que, ayant l’attribut de la divinité, elle est “divine”, ou “un être divin”.
Joseph Thayer, théologien et bibliste qui a participé à la traduction de l’American Standard Version, a déclaré sans ambiguïté: “Le logos était divin, non l’Être divin lui-même.” Quant au jésuite John McKenzie, il a écrit dans son Dictionnaire de la Bible (angl.): “Une traduction rigoureuse de Jn 1:1 donne ceci: ‘(...) la parole était un être divin.’”
La grammaire est respectée
POUR certaines personnes, ces traductions ne tiennent pas compte d’une règle de grammaire du grec koïnê énoncée, en 1933, par l’helléniste E. Colwell. Selon lui, en grec, un nom attribut “porte l’article [défini] lorsqu’il suit le verbe; s’il précède le verbe, il n’est pas accompagné de l’article [défini]”. Cet auteur veut dire par là que lorsqu’un nom commun attribut précède le verbe, il faut le considérer comme s’il était effectivement accompagné de l’article défini (“le”, “la”, “les”). En Jean 1:1, le second nom commun (théos), qui est attribut, précède le verbe: “et [théos] était la Parole.” Par conséquent, d’après Colwell, Jean 1:1 devrait se lire ainsi: “et [le] Dieu était la Parole.”
Considérons l’exemple que l’on trouve en Jean 8:44. Jésus dit ici à propos du Diable: “Ce fut un homicide.” Comme en Jean 1:1, dans le grec, le nom commun attribut (“homicide”) précède le verbe (“fut”). Il n’y a pas d’article indéfini devant ce mot, car l’article indéfini n’existait pas en grec koïnê. Toutefois, la plupart des traductions ajoutent l’article “un”, parce qu’il est requis par la grammaire grecque aussi bien que par le contexte et par la langue française. Voir Marc 11:32; Jean 4:19; 6:70; 9:17; 10:1.
Colwell a dû reconnaître cette caractéristique du nom commun attribut, car il dit: “Dans cette position, il est indéfini [“un(e)” ou “des”] seulement si le contexte l’exige.” Il a donc admis le fait que, lorsque le contexte l’exige, le traducteur peut introduire un article indéfini devant le nom commun pour montrer qu’il s’agit d’un attribut.
Se trouve-t-on dans le même cas en Jean 1:1? Oui, car le témoignage de la Bible dans son entier prouve que Jésus, bien qu’ayant l’attribut de la divinité, n’est pas le Dieu Tout-Puissant. Par conséquent, ce qui doit guider le traducteur dans de tels cas, c’est, non pas la règle discutable de Colwell, mais le contexte. Nombre de biblistes, qui traduisent le deuxième théos de Jean 1:1 par “(d’essence) divine”, “un être divin”, “divin” ou “dieu”, rejettent la règle artificielle de Colwell— comme le fait la Parole de Dieu elle-même.
Est-ce une critique de dire la vérité? de la démontrée?