Question:
Nouveau Testament ou ancien testament?
caty guatemala
2006-10-12 19:12:15 UTC
Quelle diference il y a t´il entre le Nouveau Testament et l'ancien testament,Merci
Treize réponses:
Goéland
2006-10-13 01:40:28 UTC
Pour faire simple l'Ancien Testament c'est tout ce qui a été écrit avant Jésus-Christ (l'histoire du peuple juif et sa relation avec Dieu) et le Nouveau Testament c'est tout ce qui a été écrit,pour les chrétiens, à partir de Jésus-Christ(Evangile,actes des Apôtres,Apocalypse...)
Puma
2006-10-12 19:46:13 UTC
L'ancien testament est l'histoire du peuple élu et les rapports qu'il entretrient avec son Dieu qui est un dieu colérique, jaloux et vengeur. Le nouveau testament est une nouvelle alliance entre les hommes sans distinction et le fils de dieu, Jésus. La loi n'est plus, celle du talion mais celle de l'amour.
anonymous
2006-10-13 02:28:40 UTC
L'Ancien Testament est la révélation du Dieu unique au peuple juif.

Le Nouveau Testament est l'annonce que ce Dieu Unique est universel.
Dada
2006-10-12 19:58:50 UTC
Les Catholiques te diront que le Nouveau Testament est l'accomplissement de l'Ancien Testament...



Selon moi toutefois, le Nouveau Testament est "la remise en question de l'Ancien Testament", soit la démonstration de la prédominance de la "compassion" sur la "rigueur"...



En effet, la loi mosaïque semble bien dépassée, et ce même par la Moralité universelle...
molpusjr
2016-12-26 22:54:39 UTC
Bonsoir, L'ancien testomony , c'est l'oeuvre de Dieu et les prophètes pour annoncer l. a. venue de Jésus ! Le nouveau testomony, c'est l. a. venue de Jésus pour accomplir l'oeuvre de Dieu !
Nico
2006-10-12 19:24:22 UTC
*n'a pas le courage de tout lire à cette heure*



Momo... faudrait quand même penser à citer tes sources quelques fois^^



C'est du pillage intelectuel ce que tu fais!!



Quand quelque chose n'est pas de soit, il faut dire d'où ça viens....
etoile filante
2006-10-13 01:23:32 UTC
ah ..dans l'ancien testament D-ieu est colerique et jaloux....bon..en attendant c'est surtout les catholiques, par le passe, qui ont ete colereux et violents a travers les siecles..et non les juifs...tu veux savoir ce que j'en pense moi...que le premier sera le dernier que tout est cyclique dans ce monde ..a bon entendeur!
eric
2006-10-12 23:57:03 UTC
Y a pas de différence c'est une continuité... en fait l'ancien testament c'est l'ancienne alliance que Dieu avait fait avec les hommes et le nouveaux testament c'est la nouvelle alliance que Dieu a fait avec les hommes. Avant c'était la loi et maintenant c'est la grâce de Dieu par jésus.
gary
2006-10-12 20:40:30 UTC
Apres le peche d'ADAM et d'EVE lors de la creation dans le jardin d'EDEN; IL y avait un homme nomme 'HABRAM" dont Dieu

lui a change son nom en l'appelant "HABRAAM"; Dieu lui fit une al.

iance accompagnee d'une promesse en lui faisant pere d'une grande nation.

Les descendants d'habraam ont ete arrive esclave des egyptiens,a cause de cette aliance, l'Eternel leur a fait sortir du pays d'egypte et les a delivre dans le desert. Malgre tout, le peuple Israel ou les descendants d'habraam n'ont pas respecte cette aliance, ce contract que Dieu leur a signe.

L'Eternel a fait son apparution sous forme de feu aux yeux de ce peuple, il a envoye des juges comme Gedeon, des rois comme David et enfin des prophetes comme Daniel, Jeremie, Esaie etc

pour faire voir sa puissance et pour communiquer au peuple ce qu'il desire; malgre tout, ce peuple n'a jamais respecte son aliance.

C'est alors que Dieu dit: puisque ce peuple ne respect pas mes paroles, il n'obeit pas a mes ordres; alors, je vais faire maintenant une aliance avec L'humanite, je vais envoyer mon

fils; il moura pour l'humanite et Israel aura cofiance en lui et me

serve avec fidelite. C'est la que commence le deuxieme contract

la nouvelle aliance ou testament.

avec l'arrive de jesus, les choses qui etaient en desordres reviennent en ordres et tous les principes que Dieu a donne au peuple Israel, Jesus a fait un netoyage et les a donne pour tout le monde en disant: moise a dit telle chose, moi je dis.

Il dit encore:si l'acienne aliance n'a pas eu de defaut, il n'est pas question d'une deuxieme.

le probleme c'est que; l'ancien testament n'a ete fait que pour le peuple Israel tandisque, le nouveau testament est fait pour l'humanite entiere. C'est la, la difference.
Momo
2006-10-12 19:15:52 UTC
La notion biblique de testament, que le christianisme a valorisée en la mettant au pluriel (Ancien Testament et Nouveau Testament), pluriel dont le concept de bible (livre) fut et demeure l'agent unificateur, est la confluence, repérable comme processus à travers l'histoire littéraire d'Israël, dans ses éléments canoniques et non canoniques, de la notion d'alliance (le latin testamentum traduisant le grec diathèkè) et de la notion strictement dite de testament.

    Le judaïsme, ancien et tardif, ne cessa de professer l'existence d'un seul « testateur », selon les deux acceptions du terme, Moïse. Toute écriture et toute tradition lui sont imputées, jusqu'aux œuvres les plus représentatives, comme littérature, de la période intertestamentaire, les apocalypses (« révélations » sur la fin des temps). Par le truchement de la représentation du Christ sous les traits du nouveau Moïse, le Nouveau Testament, dont l'unique référence est la tradition attachée à Jésus, dit le Christ, et dont l'étape ultime est le livre prophétique appelé l'Apocalypse de Jean, demeure profondément juif. Dans ce mouvement vers le plus grand livre, ou mieux vers le dernier livre, l'histoire, par le mode de connaissance qu'elle met en œuvre, n'est que l'auxiliaire de la Loi (Torah), et cela d'autant plus qu'elle se met progressivement au futur et, plus précisément, dans les apocalypses, en termes d'échéance. Torah et testament sont donc synonymes.

    Une présentation séparée des caractères spécifiques et du contenu propre de chacun des testaments s'impose. Mais il convient de bien relier les deux faces testamentaires par l'ouverture de l'espace socio-littéraire dont leur articulation est solidaire. Aussi, entre l'Ancien Testament et le Nouveau, introduira-t-on l'« Intertestament ».



« Qu'il y a de différence d'un livre à un autre ! », a écrit Pascal ; et ce n'est pas au contenu de l'Ancien Testament qu'il songeait, mais à sa nature. Avant de chercher ce que veulent dire des signes, il faut en effet se demander ce qu'ils sont. Le contenu du terme « Testament » se rattache à la notion d'engagement ou d'alliance. L'Ancien Testament, c'est donc le monument d'une alliance, l'instrument d'un contrat. Son écriture prétend au degré majeur de la permanence et de l'autorité : elle est, elle est encore, le fonctionnement d'une institution ; elle prend effet comme un acte, au sens d'acte notarié. Le paradoxe est qu'une écriture dont l'impression est douée d'une pareille fermeté jouisse du droit incontesté d'être appelée littérature, parce qu'on y lit tout autre chose que les monuments du droit : les formes du désir de l'homme s'y manifestent à partir du sujet qui les éprouve, et l'humanité s'y inscrit comme réalité mouvante, cela plus nettement dans l'Ancien Testament que dans le Nouveau. La recherche exégétique doit-elle choisir entre ces deux aspects, qui ne surgissent pas séparément ? Elle s'est orientée à partir de Gunkel vers la recherche des formes et leur histoire (Gattungsforschung, Formgeschichte), définissant pour chaque écrit sa nature et sa fonction à partir des indices de son origine. Mais l'infidélité des formes à elles-mêmes, à leur fonction, à leur origine n'a trop souvent été prise en considération que pour minimiser leur existence. Il faut au contraire mesurer cet écart entre l'écrit et le canon formel pour partir de lui, parce qu'il constitue justement la littérature, comme fonction à côté de la fonction.



 Le Nouveau Testament débute par les mots Biblos génésèôs, incipit ambigu de la généalogie de Jésus, de l'Évangile selon Matthieu et du corpus entier qui porte le nom de Nouvelle Alliance. Cette imputation du concept de livre tant aux représentations de l'origine et de l'organisation du cosmos, du peuplement et de la première histoire sociale du monde qu'à des productions littéraires diverses et spécifiques, comme aussi à la présentation systématisée d'événements qui s'organisent en une vie de Jésus-Christ, frappe vivement l'attention. Bien plus, un tel fait vient s'articuler avec le processus de communication et de traduction qui, à partir du IIIe siècle avant J.-C. et durant plusieurs décennies successives, a vu tout un corpus, le livre de la Torah, déjà quasi canonisé par un groupe doctrinalement défini, Israël, se manifester non plus dans sa langue originale, l'hébreu, mais en grec, la langue de la gentilité. C'est d'abord au sein de la puissante entité judaïque (le politeuma) d'Alexandrie que l'ensemble des livres sacrés s'est appelé « le Livre » (hè Biblos). Un brillant ouvrage alexandrin, la Lettre d'Aristée, long plaidoyer à teneur autant politique que dogmatique et défenseur vigoureux de la traduction grecque des Septante, est, semble-t-il, le premier document à employer l'expression « les textes de la Bible » (littéralement « du Livre »). La Règle de la communauté de Qumran, ouvrage palestinien en langue hébraïque, de son côté et presque à la même époque, désignait aussi la Torah (écrite) comme « le Livre » (VI, 7). Il appert donc que le politeuma, profondément hellénisé mais non moins doctrinalement juif, d'Alexandrie, la fraternité aux tendances sectaires et conservatrices de Qumran, sans oublier les unités originelles du christianisme - soit autant de groupes qu'investissait un système dogmatique fortement régulateur -, ont, chacun en son lieu et dans sa langue propres, défendu et assuré leur existence dans un rapport de réciprocité avec une collection unitaire d'œuvres littéraires qu'ils reconnaissaient et présentaient comme « la Bible », c'est-à-dire comme leur livre.

    Ce processus d'écriture et de reconnaissance d'une Bible par un groupe juif, judéo-chrétien ou chrétien paraît historiquement et socialement s'exprimer sur un champ d'une assez ample latitude. Ainsi, durant toute la période que l'on dit « intertestamentaire », entre le IIe siècle avant et le Ier siècle après J.-C. environ, bien des textes juifs, aujourd'hui groupés sous l'appellation technique d'apocalypses (révélations), manifestèrent une tendance très accusée à s'organiser à la manière d'une mini-Torah ou d'une mini-Bible, autrement dit à doublement s'achever : à la fois comme produits littéraires et comme réalités créatrices de groupes « biblistes » déterminés. On pense aux grands textes palestiniens tels que le Livre d'Hénoch et le Livre des jubilés, etc., mais aussi à des ouvrages insolites comme le IIIe Oracle sibyllin. Ce dernier, né sur le sol alexandrin vers le milieu du Ier siècle avant J.-C., est un pur pastiche homérique qui reflète de nombreuses traditions, croyances et idées grecques (par exemple, le mythe des races d'Hésiode) ou orientales (telle l'antique doctrine babylonienne de l'année cosmique) ; il n'en demeure pas moins, dans le judaïsme hellénisé, le modèle de ce que son dernier commentateur appelle « une sorte de Bible en réduction » (V. Nikiprowetzky, La Troisième Sibylle, Paris, 1970). Dès lors, on saisit combien, avec la Bible grecque des Septante, avec les nombreuses et diverses apocalypses, le rapport socio-littéraire qui articule bible(s) et groupe(s) judaïque(s) s'est affirmé et renforcé sous les plus nettes apparences de pluralisme. Le passage de la Bible judaïque à la Bible chrétienne, ou mieux l'achèvement de la première, ou encore, si l'on préfère, l'enchaînement des deux Testaments peuvent fonctionnellement s'inscrire dans ce même contexte.



    Il convient, d'ailleurs, de noter dans l'histoire du judaïsme le déplacement qui s'est opéré du prophète qui parle au prophète qui écrit. Ce dernier, il s'agit de l'apocalypticien, se dit prophète non plus en tant qu'il profère des oracles mais en tant qu'il fixe dans un livre, ou en des livres, ses visions et les secrets qu'elles révèlent sur la fin des temps. L'Apocalypse de Jean, œuvre canonique qui clôt la Bible chrétienne, est précisément adressée à un « lecteur » (I, 2) ; à la dernière page, elle est désignée comme un « livre prophétique » dont on doit retenir « les paroles » (XXII, 7 et 19). Très frappantes sont à ce propos les notations de Flavius Josèphe sur Daniel, reconnu comme le premier et le plus grand des vrais apocalypticiens. L'historien juif écrit : « Tous les livres qu'il a composés et laissés sont lus chez nous encore maintenant [...]. Daniel fut [...] un prophète de bonheur [...] ; il nous a laissé par écrit la preuve de l'exactitude immuable de sa prophétie » (Antiquités judaïques, X).
anonymous
2006-10-13 01:22:10 UTC
le At est moyen ageux, pas de miséricorde

envers les pécheurs

comme le Coran

le NT est la nouvelle alliance de Dieu

on respire mieux

grâce et amour, mais sévérité envers le péché

amour du pécheur et haine du péché

on est plus sous l'impitoyable loi de MOise

de là, les progrès sociaux en occident

post chrétien, on profite des bons fruits d'un arbre malade, car on est devenu trop matérialiste...

donc AT haine du pécheur et NT haine du péché et amour du pécheur....



Yves



bon..en attendant c'est surtout les catholiques, par le passe, qui ont ete colereux et violents a travers les siecles..et non les juifs



vrai mais on parle du texte, pas du mauvais emploi
?
2006-10-12 19:23:04 UTC
Le Dernier Testament ( J - 64 )
anonymous
2006-10-12 19:24:04 UTC
momo, ont vois que tu aime bien ecrire. La difference entre les 2, en fait ils ont ete ecris à 2 epoques bien differente car la religion à l epoque de l ancien testament a changé alors es apparus le nouveau testament. Pour ma part, j ai lus les 2 ainsi que la bible, les evengiles et le saint Coran


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