2010-01-14 04:10:42 UTC
« Plus j'étudie plus j'apprends que la force de l'Islam ne se puise pas dans l'épée ».
« Je voulais mieux connaître la vie de celui qui aujourd’hui détient indiscutablement les cœurs de millions d’êtres humains. Je suis désormais plus que jamais convaincu que ce ne fut pas l’épée qui créa une place pour l’Islam dans le cœur de ceux qui cherchaient une direction à leur vie. Ce fut cette grande humilité, cet altruisme du prophète, l’égard scrupuleux envers ses engagements, sa dévotion intense à ses amis et adeptes, son intrépidité, son courage, sa confiance absolue en Dieu et en sa propre mission. Ces faits, et non l’épée, lui amenèrent tant de succès et lui permirent de surmonter les problèmes. » Extrait du journal « Young India », cité dans « The light », Lahore, 16/09/1924.
A. S. Tritton illustre Historien disait : « limage du soldat musulman avançant avec une épée dans une main et le Coran dans lautre est tout à fait fausse. » LIslam. Londres 1951 page 21
De Lacy Oleary, Historien disait : « L'histoire est claire sur ce point: la légende des musulmans fanatiques s'abattant sur le monde, imposant l'Islam, à la pointe de l'épée, aux peuples vaincus est un des plus fantastiques et absurdes mythes que les historiens ont pu répéter. Aux carrefours de lIslam, page 28- (Ed. originale Islam at crossroads, Londres 1923, p.8)
James Michener écrivain américain qui fut un sympathisant de la cause amérindienne disait :
« Aucune autre religion dans l'histoire ne s'est propagée aussi rapidement que lIslam.... L’occident a largement cru que ce déferlement religieux fut rendu possible par l'épée. Mais aucun érudit moderne n'ccepte cette idée et le Coran est explicite dans le soutien de la liberté de conscience. » Islam-The Misunderstood Religion, Readers Digest (Edition Americaine) Mai 1955.
D’ailleurs l’Histoire de la prise de Jérusalem par les Musulmans et une des preuves irréfutables. Omar accorda sa protection aux habitants de la ville. Il garantit la sauvegarde des sites chrétiens et donna ordre à ses hommes de ne pas les détruire et de ne pas les utiliser comme habitations. Le récit d'Eutychius raconte qu'`Omar ibn al-Khattab visita l'église de la Résurrection et s'arrêta pour s'asseoir sous son porche; mais, au moment de la prière, il s'éloigna de l'église et fit sa prière en dehors. Il craignait que les générations futures ne prennent le prétexte d'une prière de lui à l'intérieur de l'église pour la transformer en mosquée. Eutychius ajoute que `Omar ben al-Khattab avait écrit un décret interdisant aux musulmans de se réunir en ce lieu pour y prier.
Pour Mohammad (psl), pour ses compagnons et pour ses prédécesseurs, il n'a donc jamais été question d'imposer, par la force, la foi en un Dieu Unique.
A savoir que même dans le cadre de la guerre, les combattants musulmans sont astreints au respect de la personne humaine: il leur est interdit de traiter, de manière dégradante, les captifs tombés entre leurs mains et de tuer les femmes, les enfants, les vieillards, les rabbins et les moines
En revanche, il est autorisé, d'une part, à combattre ceux qui l'empêchent ou tentent de l'empêcher d'appeler les hommes à la vérité en leur transmettant la révélation qui lui a été faite et, d'autre part - et cela semble naturel -, à se défendre contre ceux qui, ouvertement ou de manière sournoise, agissent contre l'islam ou ceux qui le pratiquent.
Dieu dit dans le Coran 2-190 « Combattez dans le sentier d'Allah ceux qui vous combattent »
En ce qui concerne les attentats suicident des savants musulmans plus précisément, se que l’ont traitent de fondamentalistes et de wahhabi disent a ce sujet :
L’Imam Mohamed Nasiroudîn Al-Albani un savant Salafiste a fait une fatwa à ce sujet :
«voir ces missions suicides comme un moyen de se rapprocher d’Allah (acte d'adoration digne d'éloges) en se tuant aujourd'hui pour sa terre ou son pays , nous disons non ! Ces missions suicides ne sont pas islamiques ! Toutes les missions suicides sont des actes impunis qui doivent tous être considérés comme interdits (Haram»
Cher lecteur permettez-moi de vous posez quelques questions :
1) Comment avoir conscience de notre cadre de référence ?
2) Comment savoir où nous nous situons sur le chemin de la connaissance ?
3) Comment savoir si notre évolution se fait dans le bon sens ?