hicham 1204
2009-03-03 07:10:57 UTC
10) On trouve dans l’Évangile selon Jean (14 : 30) : « Je ne vous parlerai plus longtemps, car le meneur de ce monde viendra… » Qui est le meneur du monde qui vint après Jésus (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) si ce n’est Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) ? Dieu a parachevé par lui la prophétie et lui donna la plus complète des législations qui convient pour tous les temps et tous les lieux.
11) On trouve dans le même Évangile (8 : 13) : « C’est votre avantage que je m’en aille ; en effet, si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas à vous : si, au contraire, je pars, je vous l’enverrai. »
12) Et dans (Jean 16 : 13) : « […] car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu... » Cette dernière description n’est autre que celle du prophète Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui), car c’est bien lui qui ne parle pas de son propre chef, comme il est mentionné dans le Coran : (Et il ne prononce rien sous l’effet de la passion ; ce n’est qu’une révélation qui lui est faite.)[1][17]
Par contre, le terme « le paraclet » – qui peut s’écrire aussi « paraklêtos » – signifie le consolateur ou celui qui est appelé au secours ou l’avocat. Mais le mot en latin peut aussi s’écrire de plusieurs façons. Il peut aussi avoir le sens de celui qui est loué, le plus loué, la louange ou celui qui loue énormément. Ceci est la signification du mot « Muhammad » en arabe : celui qui est loué ou encore l’autre prénom du prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) qui est « Ahmad », qui signifie le plus loué.
Quelle que soit la signification du mot « paraclet », nous pouvons conclure que Jésus a laissé derrière lui une œuvre inachevée et que quelqu'un allait venir pour compléter sa mission. Par ailleurs, les religieux chrétiens cherchent à ne pas divulguer l’autre sens de paraclet en prononçant ce mot de la deuxième façon, car il deviendrait clair à tout le monde qu’il s’agit de Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui). Les religieux jouent sur cette ambiguïté, car le mot original qui fut traduit n’est plus connu ! Ils traduisirent donc « paraclet » par « consolateur » pour que ce mot ait le sens du « Saint-Esprit ».
Mais, ce qui est étrange est de voir le mot « Saint-Esprit » utilisé mot pour mot dans d’innombrables versets des quatre Évangiles. Si « paraclet » signifiait réellement « Saint-Esprit », les quatre rapporteurs des Évangiles se seraient empressés de le mentionner ad litteram !
Le Saint Coran mentionne dans la sourate le Rang, v.6, que Jésus a explicitement mentionné le nom Ahmad : (Et quand Jésus fils de Marie dit : « Ô Enfants d’Israël ! Je suis vraiment envoyé de Dieu vers vous, confirmant ce qui est venu avant moi dans la Thora, et pour annoncer un Messager après moi, dont le nom sera "Ahmad". Puis, lorsque celui-ci vint à eux avec des preuves claires, ils dirent : "C’est une magie évidente." »)
Ahmad est le second nom du Prophète Muhammad et qui veut dire littéralement celui qui est le plus loué, le même sens que le « paraclet ». Cependant, examinons tout de même, dans le contexte de la Bible, si ce consolateur convient au personnage du Prophète Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui)[1][18] ou pas :
a. Jean (8 : 13) : « Un autre consolateur. » Donc, plusieurs consolateurs étaient déjà venus et il y en avait un qui devait encore venir. Ainsi, cette annonce ne convient plus au « Saint-Esprit ».
b. Jean : « Afin qu'il demeure éternellement avec vous ». Étant donné que le besoin pour un autre de venir après lui n'existait plus et qu'il serait le dernier de tous les prophètes. En effet, l’enseignement du prophète Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) demeure pour toujours et reste intact : le Coran et tous ses enseignements demeurent comme ils l'étaient il y a 1400 ans.
c. Jean (16 : 8) : « Il convaincra le monde en ce qui concerne le péché » : Tous les autres Prophètes, y compris Abraham, Moïse, David et Salomon corrigeaient leurs voisins et leur peuple pour leurs péchés, mais pas le monde comme l'a fait Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui). Il n'extirpa pas seulement l'idolâtrie de l'Arabie en l'espace de 23 ans, mais envoya aussi des émissaires à Héraclius, aux souverains des empires de Perse (Chosroês) et de Rome, au Négus, le roi d'Éthiopie, et à Mouqawqis, le gouverneur d'Égypte. Il réprimandait les chrétiens pour avoir divisé l'unité de Dieu en trinité, et pour avoir élevé Jésus au rang de fils de Dieu et ensuite de Dieu lui-même. C'est lui qui condamna les juifs et les chrétiens pour avoir corrompu leurs Écritures, et c'est lui qui a blanchi tous les Prophètes des imputations d'adultère, inceste, viol et idolâtrie.
c. Jean (16 : 13) : « Car il ne par