@Stéphanie, il ne s'agit pas de donner raison à ceux qui tuent des médecins avorteurs.
Il ne s'agit pas non plus de juger les mères... surtout pas !
Il s'agit de se donner la main pour essayer de faire baisser le nombre d'avortements. Il y en a 230 000 par an en France ! Or, il n'y a pas 230 000 cas de détresse en France.
Soyons concrets : il faudrait par exemple aider un peu plus les mères célibataires dans notre société.
Quelques pistes sont données par cette association :
http://www.mere-de-misericorde-france.org/
@Stephanie, j'ai bien dit qu'il ne s'agissait pas de juger. Tu as raison de parler de "choix". Le milieu médical, bien souvent (pas toujours), n'explique pas à la mère qu'elle a le choix de garder l'enfant. Et il faut se décider vite vite vite... Nombreuses sont les femmes qui disent ensuite qu'elles n'avaient pas bien compris les tenants et les aboutisssants...
Je me répète, je pense que l'on pourrait baisser ce nombre trop élevé de 230000. Car dans le fond, on voit bien que ce n'est pas naturel d'avoir recours à l'avortement de façon si massive.
@zebulon : ne te cache pas derrière des formule choc. Ca veut dire quoi disposer de son corps... Je n'aimerais pas que ma femme interrompe la grossesse de notre enfant sans m'en référer. Les hommes ont autant le droit que toi de parler avortement. Chacune de ces petites vies a un géniteur, non ? Un géniteur qui s'appelle un papa et qui doit assumer, non ?
Nous avons 34 ans de recul depuis la loi Veil. Beaucoup de femmes qui ont avorté ont rencontré des problèmes psychologiques plus tard.
@Sonia : un enfant trisomique est un enfant. Un enfant affectueux. Son intelligence sera limitée, mais pas sa capacité d'aimer et d'être aimé. Excuse-moi, mais c'est épouvantable de dire : "cet enfant n'est pas assez intelligent pour vivre".